Les gens qui passent dans la rue
ont tous l'air légère
de gens qui ne savent pas
le chagrin, ni l'amértume.
Heuresement.
S'ils l'auraient su
peut-être je ne pourrais pas
écrire peut-être personne
n'existait qui pouvait
comprendre le bonheur
des autres et l'état
epuisé de moi même.
13-04-2009
Thursday, April 16
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
1 comment:
Por momentos ao lê-lo senti-te Amélie...=)
Post a Comment